Fiorentina, Cuadrado Resta. Andrea della Valle : c'est un cadeau pour Florence, nous sommes Champions

Les objectifs que nous rassemblons sont clairs : comment assurer une meilleure transparence des opérations de transfert et de l'activité des agents sportifs ? En effet, les débats n'ont pas confirmé que les difficultés rencontrées ont surtout une dimension internationale dans la mesure où l'on trouve généralement les opérations de transfert impliquant un élément étranger qui pose problème, ensemble inter milan 2023 plutôt que les opérations franco-françaises. Dans la mesure où la DNCG n'a pas toujours les moyens de contrôler les clubs, ces nouvelles règles de gestion prudentielle, comptables ou financières, devraient être établies pour les acteurs concernés, clubs et agents ? Pour notre part, nous n'avons eu à aucun moment l'envie que ce débat tourne mal et je répète donc que je regrette l'absence des représentants de la Fédération française de football, de la Ligue de football professionnel et, par solidarité, de la Direction nationale du contrôle de gestion. Cela tient en premier lieu au fait que la réglementation n'est pas toujours très claire et que sa transcription par la Fédération française ne lève pas toutes les ambiguïtés. Nous avons tout d'abord constaté que la transparence des opérations de transfert n'est pas complètement assurée aujourd'hui, ni sur le plan contractuel, ni sur le plan financier ; qu'on ne connaît pas les agents d'un grand nombre de joueurs, car souvent les mandats ne sont pas déposés auprès de la Fédération française de football (FFF) comme ils devraient l'être.

Nous avons également constaté qu'une pluralité d'acteurs intervenait dans les opérations de transferts, dont les conditions juridiques sont ambiguës. Quels dispositifs permettront d'améliorer la traçabilité des flux financiers lors de ces opérations ? La réglementation actuelle n'a par ailleurs pas permis d'assurer la transparence des flux, pourtant indispensable au regard de l'importance des enjeux financiers. Faut-il que le contrôle soit exercé uniquement par les instances sportives ou dans le cadre d'un contrôle régalien plus indépendant? En ce qui concerne l'activité des agents historiques, certains ont regretté qu'une centaine d'entre eux, soit la moitié des agents en exercice, aient pu régulariser leur situation sans examen de connaissances, dans le cadre du dispositif dérogatoire d 'octroi de la licence d'agent sportif. Si Anderson avait reçu le titre de grand maître après l'Olympiade de Munich, il aurait été le premier récipiendaire du Commonwealth sur la base de scores exagérés, environ six ans avant Yanofsky à Tel Aviv, 1964. Un lecteur peut-il faire la lumière sur la situation concernant Anderson et le futur titre de grand maître en 1958 et quelles étaient les exigences de la FIDE pour le titre à ce moment-là ? Des contemporains à qui j'ai parlé et des articles récents dans des publications canadiennes ont dit qu'Anderson aurait reçu le titre de grand maître pour sa performance à Munich, sauf qu'il n'a pas joué son dernier match; il avait gagné le nombre de points nécessaires mais n'avait pas joué le nombre de parties nécessaires.

Pendant ce temps, le capitaine vétéran de Milan, Paolo Maldini, a contracté ce qui semblait être une grave blessure à la cheville à la 25e minute et a dû être remplacé par Kakha Kaladze. Anderson, qui a été cloué au lit pendant une grande partie de sa jeunesse avec une forme grave d'arthrite, a développé la grippe lors des dernières rondes de l'Olympiade, mais a continué à jouer jusqu'à l'avant-dernière ronde. Le Canada se battait pour la première place du groupe B. 'Frank Ross Anderson (1928-80) a été deux fois médaillé d'or à deux pour le Canada, aux Olympiades de 1954 et 1958 à Amsterdam et à Munich, et a reçu le titre de maître international pour son résultat à Amsterdam. Il est maître de son sujet. Il est dit à propos du dernier tour à Munich qu'Anderson était extrêmement malade et incapable de jouer, et j'ai pu le confirmer à partir de comptes rendus de journaux contemporains et de correspondance avec Ross Siemms, l'un de ses coéquipiers à cette Olympiade.

« Grand connaisseur et grand pédagogue, Monsieur J. du Mont, dans ce livre, se rapproche de l'idéal d'instruire et de divertir à la fois. Il sait tout cela et transmet son savoir à ses lecteurs avec une richesse d'illustrations et une facilité dialectique sans comparaison. Qui est ce champion national, qui a disputé des matchs contre Lasker, Capablanca et Alekhine? Aujourd'hui, la FIDE permet à un chercheur de normes de prendre une perte sur papier dans de telles situations, mais cela ne semble pas avoir été le cas dans le passé. Monsieur J. du Mont a soigneusement étudié son troupeau, composé d'éléments si variés. Je rappelle que nous sommes demandés la semaine dernière s'il était possible de conserver l'encadrement juridique actuel applicable aux transferts et à l'exercice de la profession d'agent sportif, sous réserve d'en améliorer l'application et le contrôle ou de réformer le dispositif actuel, et que la réponse a été claire : il faut aménager les règles en vigueur car le dispositif est encore très insuffisant, au niveau tant national qu'international. Par ailleurs, le régime juridique des personnes collaborant à l'activité d'agents est imprécis.